Nahele A. Shonnash

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Quelles sont tes Qualités?

C'est la question piège. C'est dur de dire ses qualités sans passé pour quelqu'un qui se vante. Mais bon, je m'y plie. Je suis quelqu'un de franc, je n'aime pas mentir et tourné autour du pot. Je suis fidèle et loyale en amour, en amitié et envers ma famille aussi. Je suis attentif au cour mais surtout envers les autres, j'aime les écouter et les aider si c'est nécessaire et surtout si j'en suis capable.

Et tes défauts?

Ouh! Là, je pense que j'en ai vraiment beaucoup. Et bien je suis une véritable tête de mule déjà, c'est le pire de mes défauts. Je suis aussi fort impulsif, je réfléchis pas des masses avant d'agir, j'agis plus à l'instinc. Je suis jalou dans une certaine mesure, je n'aime pas qu'on tourne autour de ma copine surtout. Je ne me trouve pas particulièrement possessif, mais on m'a souvent dit que je l'étais quand il s'agit de nouveau de ma copine. Je me mets facilement en colère et je deviens agressif, mais j'arrive à me contrôler de mieux en mieux maintenant.

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Nahele est relativement grand: 1m90. Il a un teinte halé caractéristique des amérindiens. Il est fort, musclé, c'est relativement dissuasif face à l'ennemi. Il porte des cheveux noir coupé cour. Il a des yeux brun foncé très expressif mais petit de taille. Il n'a pas de style vestimentaire particulier, il change en fonction de son humeur et de ses envies surtout. Il porte deux tatouages. Le premier sur son biceps droit un symbole tribal très compliqué dans lequel apparaisse deux têtes de loup. Et le second situé sur l'aile de son bassin à gauche une tête de loup aussi.

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Tout le monde naît un jour, mais est ce que tout le monde peut se vanter d’être l’élément d’union d’un couple qu’on peut aujourd’hui qualifier de : presque parfait ? Mon histoire a commencé ainsi, deux jeunes de la Réserve Navajo qui ont un peu trop fait la fête, deux jeunes qui avant cela n’était que les meilleurs amis du monde. Une nouvelle qui est tombé un beau jour, ma mère était enceinte de son meilleur ami. Un coup de chance sans doute vu l’âge de mon père à l’époque qu’il ne décide pas de la planter là enceinte. L’idée de l’avortement n’avait pas vraiment traversé leur esprit, surtout quand on sait que ma grand-mère est une catholique très catholique. Et c’est ainsi que commença l’attente en vue de ma naissance, quelques mois plus tard.

Je viens au monde le jour d’Halloween, une drôle de date pour pointé le nez dehors, je sais, ma grand-mère aurait sans doute nettement plus apprécié que je vienne le jour de Noël ou d’une quelconque fête chrétiennes, mais c’est comme ça, quand c’est l’heure, c’est l’heure. Et ce fût la surprise, tout le monde était persuadé que je serais une fille, et bien non, j’étais et je suis toujours un beau garçon. Un phénomène selon ma grand-mère quand j’arrivais avec 55 cm et 4kg500, autant dire que je n’étais pas petit. S’en vient alors la dispute pour le prénom, on n’allait pas m’appeler ni June, ni Lisa quand même ! La décision fût prise, je m’appellerais Nahele et on me filerait le prénom trop original que mon père voulait en deuxième prénom : Aedan. Honnêtement, je préfère Nahele, il n’y a pas à dire. Quelques mois après ma naissance, ma mère et mon père se marièrent et ma grand-mère cessa de jaser pour de bon.

Je passais quelques années comme enfant unique avant que ma mère ne tombe de nouveau enceinte avant de donner naissance à ma petite sœur, June. Des deux, je pense être celui qui à le moins cassé les pieds aux parents, même si j’adore ma sœur. C’est toujours comme ça, les aînés sont plus calmes et discret que les deuxièmes qui sont jaloux sur tout. S’embêter l’un, l’autre est rapidement devenu un jeu entre nous qui continue encore aujourd’hui, même si j’ai toujours trouvé que June prenait ça trop à cœur. Elle n’appréciait surtout pas à l’époque que je sois toujours collé à ma mère, d’ailleurs, ma maman c’est la meilleur du monde ! Dès l’enfance, ma passion pour le sport prit une place importante dans ma vie, je ne peux pas m’en passer c’est une véritable drogue voir une obsession. Je pratiquais le sport aussi bien dans des clubs qu’en famille, entre amis et évidemment à l’école.

L’adolescence comme pour tout ado c’est l’époque des premières copines, l’époque de la rébellion, des premières cuites où papa vous fait une royal leçon de moral, mais je m’en tirais plus tôt bien, fidèle à ma réputation d’aîné qui doit montrer l’exemple ce genre de cas furent très rare. Et puis en tant que sportif aussi, cigarette, alcool et drogue ça reste très prohibé. Mon corps d’athlète était sans nul doute un atout majeur pour draguer mais honnêtement, je n’étais pas plus Don Juan que ça, je suis un bosseur, l’école et le sport était les deux éléments phare de ma conduite, même si je n’en demeurais pas moi quelqu’un de sociable pour la cause, j’étais toujours prêt à aider les autres.

Il y a un an, je perdais mon père et ma sœur dans un accident de voiture, ma mère et moi on ne l'a pas supporter, elle encore moins que moi et elle décida pour notre bien à tout les deux de partir et de venir ici à Los Angeles. Aujourd'hui en Terminale, je me promets à un avenir de vétérinaire. Je pratique toujours du sport. Si ça vous chante de me rencontrer, chercher du côté de la digue où de la plage car dès que j’en ai marre de courir, je pique une tête dans l’eau. N'hésitez par à me retiré mes écouteurs, sinon je risque de ne pas vous entendre.